Overblog
Editer la page Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Françoise Cuxac

Je crée à partir de matières récoltées dans la nature : restes végétaux, animaux, minéraux…, d’objets découverts dans des brocantes ou vide-greniers. Ce sont des objets usés, qui portent avec eux la trace du temps, du vécu.
J’assemble tout cela dans des compositions, des sculptures,  en offrandes à la nature ou dans des reliquaires. Mes assemblages sont parfois narratifs, avec des thèmes qui me tiennent à cœur comme la naissance, la maternité, l’éclosion, la mort… d’autres fois ils sont plus oniriques, chacun peut y projeter ses propres rêves et visions.
J’inclus aussi des insectes et petits animaux séchés, je les relie à mes personnages rêveurs, idoles et déesses, dans une osmose qui rend hommage au vivant et à tout ce qui fait notre monde.
Je m’intéresse à tout ce qui peut témoigner d’un vécu, les objets du passé sont aussi des témoins de vie à travers ceux à qui ils ont appartenu, ils rendent compte de moments de bonheurs ou de traces douloureuses. C’est ce vécu que je récupère. Ces objets ne sont pas en rapport avec la nostalgie du passé mais ils me permettent de refaire vivre des matières vouées à la disparition, de les métamorphoser…
Ce  travail sur la mémoire des choses, même les plus insignifiantes m'amène à réfléchir sur l’emprise du temps et sur l’harmonie du monde. Je rassemble diverses matières pour qu’elles soient indissociables les unes des autres, pour les regarder comme un tout en créant un univers dans lequel elles se retrouvent  et racontent leur histoire, du rêve à l’éveil, de l’oubli au souvenir, de la naissance à la mort. Même si nous pouvons y reconnaître tel ou tel élément, tel ou tel fragment, il m’est difficile de les séparer pour expliquer leur provenance et pour moi cela n’est plus indispensable. Ma démarche est d’offrir par leur union une autre vision de ce qu’elles étaient à l’état de dispersion et d’oubli.
Les vieilles photographies que j’utilise sont aussi chinées dans les brocantes, elles sont abîmées, couvertes de poussière, au milieu des objets cassés : visages de gens qui ont vécu, qui ont quelque chose à raconter : je les transforme, ils deviennent autre avec une dimension onirique
Je récolte puis classe toutes ces matières dans des boites, et les utilise lorsque surgit une envie de création. Ce sont souvent les matières qui me guident. Parfois elles parlent d’elles-mêmes, je les rapproche, leur donne des liens en rapport avec ma sensibilité et ma vision du monde.
 
Françoise Cuxac
 n j
Textes

Les rêveuses de ses premières expos sont toujours là. Paupières baissées, elles veillent. Elles ont grandi, elles ont mûri, elles ont enfanté d’autres créatures.

Ses fournisseurs non plus n’ont pas changé : brocantes, vide-greniers, bords de mer, sentiers forestiers ; objets usés, rejetés, insignifiants. Mais qui savent, comme des aimants, attirer son attention, comme s’ils l’attendaient. Elle ramasse : fragments de bois, champignons, coquillages, squelettes de petits animaux, le crâne d’un chevreuil, les os d’oiseaux pris au piège dans un vase où ils avaient fait leur nid, deux têtes de moineaux trouvées dans un insert par un ramoneur. Des vies minuscules, des vies de rien du tout, qu’on pourrait dire inutiles, au destin souvent tragique, qu’elle va sublimer dans des mises en scène qui naissent patiemment et amoureusement.

Elle dit : « J’essaie de faire moins fragile mais je n’y arrive pas ; et je voudrais que l’on voit au-delà de l’assemblage, de cette fragilité des matières ». Elle part toujours « de ce qui est déjà beau dans la nature » ; « les formes parlent, les matières aussi ». Les objets qu’elle choisit ont tous une histoire. Qu’elle ne connaît pas toujours. Transformés ou laissés à l’état naturel, associés et fondus dans des unions improbables mais pourtant cohérentes et évidentes, elle les rend à la vie. Une autre vie. C’est le miracle de la création. Là où on ne sait plus qui est quoi, végétal, animal, minéral ? Cela n’a plus d’importance, le mélange de toutes ces matières devient unité, l’union fait l’œuvre et sa curiosité. Des os ramassés sur la plage deviennent des masques colorés et coquins comme des guêpières. D’autres tapissent sur fond doré un reliquaire précieux. Des momies enveloppées d’un fil de coton immaculé disent l’infinie patience. Cabinet de curiosité, des nœuds d’arbres abritent des hôtes inattendus. Alors que des perles enfilées figurant les pattes d’un oiseau ou la tête d’un chevreuil côtoient les âmes légères posées sur fond blanc, et les âmes sombres, sur fond noir. Pendant que ces dames, la blanche, enveloppée d’un manteau de dentelle, la rousse, maternité-totem, protègent leurs amis de leur hauteur bienveillante. Sous l’œil des ces portraits désuets « réveillés », par quelque plume de flamand rose ou autre accessoire inattendu. Mais pertinent.

Si ses créations sont fragiles de par le matériau utilisé, sa démarche artistique révèle une continuité sereine et apaisée. Françoise Cuxac suit son chemin, imperturbable aux modes. Sans doute les nombreuses expositions auxquelles elle participe en sillonnant la France lui ont-elles permis de franchir ce cap. Sa main, son instinct, son goût restituent un travail abouti, fort, sans occulter l’énorme charge poétique qui s’en dégage.

La preuve que ses rêveuses ne dormaient pas…

Monique Lafarge

Textes

Françoise Cuxac est constamment en recherche et en trouvaille de forme, de fond, de support. Un globe, une boite, un collage, une sculpture, un bas-relief, une peinture, un dessin révèlent à la fois l’unité de ses créations et leur diversité.  Elle ne répète pas, elle ne reproduit pas. Elle innove. Chaque pièce est unique, différente des autres et en même temps constitutive de son monde. De sa vision du monde.

Depuis près de 20 ans qu’elle est entrée dans le monde de l’art comme créatrice Françoise construit un univers reconnaissable. Les œuvres qu’elle a réalisées (plus de deux cents environ à ce jour)  évoquent, présentent, affirment une intention : métamorphoser, transformer les éléments de la nature, les objets en une unité originale qui est le dépassement de tout ce qui les constitue. Et qui aussitôt fait sens. Qui touche aux fondamentaux des êtres vivants. La vie, la mort, la mémoire, le temps. Elle fige l’érosion des matières et redonne du temps, de la vie – symbolique – aux innombrables choses de la nature et aux objets  fabriqués. Elle retarde leur disparition, en cela elle devient démiurge. Elle détourne ce qui a vocation à disparaître, elle vole au néant ce qui paraît s’y être perdu.

Son art est œuvre de conservation et d’imagination. Les deux sont inséparables. Elle conserve la mémoire des êtres et des choses. Elle imagine ce qu’ils sont et deviennent. La transformation et la métamorphose sont les signes de son univers artistique, un univers entre tous reconnaissable fait d’offrandes au monde, de refus de la disparition. Un éloge ou un hymne à la vie. Un dialogue constant entre l’impermanence des choses et leur permanence.

L’art de Françoise Cuxac est œuvre de conservation et d’imagination. Les deux sont inséparables. Elle conserve la mémoire des êtres et des choses. Elle imagine ce qu’ils sont et deviennent. La transformation et la métamorphose sont les signes de son univers artistique.

Elle réalise soit seule soit avec des poètes des livres uniques ou à faible tirage (2 à 21 exemplaires), dans différents formats, sur des papiers spéciaux chinois, japonais et des papeteries artisanales.

On reconnaît ses matières habituelles, végétales, animales, photographies, etc., qu’elle compose et agence en y intégrant ses dessins et ses peintures.  On repère ainsi la même démarche de conserver ce qui devrait disparaître.

Elle compose aussi des livres volumineux à partir de vieux albums de photographies. Elle y projette son monde en mêlant des photos détournées et  /ou retouchées avec d’autres matériaux dont l’origine peut être autant minérale que végétale. Elle introduit peintures, dessins, collages toujours dans la même cohérence esthétique.

Il ressort de l’approche des œuvres de Françoise Cuxac une poésie faite d’émotion et d’harmonie.

Jean-Louis Clarac

 

 
Textes
 Un jardin à Aurillac sous le soleil de Mai. L'exubérance des nigelles de Damas. La légèreté, la délicatesse, l'humilité mêmes. Blanches, roses, bleues. Tendresse des couleurs pastel qui oscillent sur les tiges, fragiles. Tremblement des feuilles finement découpées qu'on dit cheveux de Vénus. Grâce infinie. C'est ici que j'ai trouvé la clé secrète qui ouvre l'univers de Françoise Cuxac. Ce jardin, c'est le sien, cette fleur entre toutes les fleurs a envahi son jardin intérieur qui s'exprime dans son art.
            Son atelier est le musée des vies minuscules, du rêve et de la douceur des choses. Y frissonnent les vies secrètes dans une hallucinante plénitude. Elle collectionne l'infime, (mot et réalité ici si proches de l'intime) : les graines, les scarabées dorés, les papillons, les pierres, petites, les écorces, les coquillages, les plumes, les duvets, les tout petits os des oiseaux, des souris, des seiches. Elle sait la douceur désolée des choses à l'abandon. Elle en fait son trésor. Ce qui reste des morts est chose précieuse. Le sens des reliques ? Juste une tendresse pour ce qui est fragile. N'a-t-elle pas fait oeuvre de pure poésie pour deux souris : « Ex-voto pour la souris », et « Reliquaire de la musaraigne » ? Dans la première, à l'intérieur d'un cadre sculpté de couleur crème, le corps momifié de la souris recouvert d'un voile brodé et tout autour, toutes sortes de broches, de minuscules bijoux. Pour la deuxième, sur une planche noire ovale, rendue précieuse par la présence de graphite naturel et de perles de verre inclus dans la peinture, la tête de la musaraigne munie de ses poils est entourée d' os de petits rongeurs. A les contempler, il vous vient une étrange affection pour l'animal redouté. Pouvoir étonnant de la poésie qui transforme soudain votre rapport au monde ! Poésie qui me rappelle ce poème de Prévert de deux escargots qui vont à l'enterrement d'une feuille morte. Françoise Cuxac sait le poids de la petite âme de la souris, la douleur de l'impossible adieu. Elle sauve ce qui va être égaré, ce qui est au bord de la disparition pour que rien de ce qu'elle trouve ne se perde dans la rumeur infinie du temps. Elle a créé des veilleurs et des anges gardiens pour son petit peuple jailli de ses rêves. Un autre de ses reliquaires consiste en une boîte en bois où sont roulées des feuilles de parchemin sur lesquelles sont écrits dix poèmes de Jean-Louis Clarac. Les sauver à tout prix de l'effacement.         
            Quête des vestiges pour donner consistance et réalité au présent lui-même. Vestiges multiples dans cette oeuvre qui ne cesse de vibrer différemment aux diverses lumières du jour sur l'un de mes murs et qu'elle a nommée « Fragments ». Un tableau rond comme la planète où sur des centaines de points de cire rouge sont fixées ce que la terre compte de pépites minérales, végétales, animales. Symphonie cosmique. Vibrantes constellations de  la petite chair du monde.
Goût du vestige, de la trace, de la mémoire mais tout autant de ce qui est en gestation, en métamorphose, de ce qui va éclore, de ce qui naît enfin. J'aime sa « Couveuse » dans son panier à claire-voie. Personnage féminin, habillée de blanc, posé sur des vingtaines d'objets eux aussi blancs, ovales, symbolisant des oeufs. Yeux clos, bouche ouverte dans une sorte d'extase, elle est la fécondité même. (un autoportrait de l'artiste ?) J'aime sa composition nommée «Attente » où un personnage, ailes déployées s'apprête à prendre son envol. Instant de neige et d'or pareil au fond de la boîte où il attend près de ce qui fut cocon, près des ailes de papillons, des fils de la vierge ou des cheveux d'ange, des plumes d'oiseaux. Ah! Devenir ! Devenir ce que l'on est.  Rêve  majeur.
            Il n'est pas aisé de sortir de l'atelier de Françoise Cuxac. Toutes ses rêveuses et tous ses rêveurs vous tirent par de mystérieux fils dans leur monde de l'ineffable douceur des choses usées, retrouvées, sauvées. Ils aiment la compagnie. Sans fin, ils vous racontent des histoires. Et s'ils étaient des ogres ?
Annie Briet
Textes
Ecouter le silence et les interstices de la vie,
recueillir le moindre petit brin de vie au creux de sa main, et l’observer longuement, protéger la moindre parcelle de vie et la ramasser dans ses recoins les plus retranchés, c’est ce à quoi s’applique patiemment  Françoise Cuxac.
    Dans ce monde rempli de tumulte, qui brille et qui clinque en voulant faire le beau, qui ne respecte plus la lenteur, les gestes de Françoise peuvent paraître empreints de désuétude :
elle glane, elle ramasse, elle trie, elle rassemble, elle rattache,  elle se penche, elle lie,  elle recueille.
Entre ses doigts, les choses reviennent de loin.
Devant son œuvre, on se trouve face à un reliquaire, devant  les restes de la vie quand la vie est passée. Le monde de
« sous la surface » nous apparaît et nous chuchote des secrets.
Ici, un squelette d’oiseau dort dans la soie d’une petite boîte, là un papillon de nuit sommeille sur fond
d’ardoise, là encore une chrysalide attend quelque métamorphose.
La vie repose, est en suspens, dans une alcôve, dans une couveuse, ou dans un cabinet de curiosités.
    Françoise est une archéologue obstinée : elle fouille les fissures, elle cherche inlassablement la trace.
Elle soulève les petites pierres pour voir ce qui est enseveli.
Elle soulève les feuilles.
Elle soulève chaque grain de sable.
Chaque grain de poussière.
Son travail nous parle au plus profond de nous, dans l’ombre de nos vies, dans ce qui a disparu.
C’est un hommage au temps qui passe, qui laisse des marques, des cicatrices, des accrocs.
Elle glorifie l’usure, met en valeur le terni, le fané.
La vie accumulée se déplie doucement, dans un bruissement léger. L’envers du décor redevient l’endroit :
l’endroit de nos joies d’enfance, petits Poucets rêveurs ramassant des cailloux plein les poches. L’endroit de nos tout petits riens précieux.
L’endroit de nos brisures, meurtrissures, de nos vies cassées en petits morceaux.
L’endroit de nos fragments,
L’endroit de ce que nous avons enterré.
    Françoise nous invite à l’intimité de nos inventaires.

 

[...]

L’œuvre de Françoise nous invite à prendre soin de nos émotions, de nos ressentis, de nos tressaillements les plus profonds. Elle nous met en gestation de nous-mêmes.
    C’est pourquoi on la regarde avec une impression de familiarité, même si il y a aussi à chaque fois un sentiment étrange : parce qu’on n’a jamais fini d’explorer les parcelles infinies de notre être.
Véronique Devignon
Textes

On est saisi face aux étranges créatures de l’artiste, comme surgies d’un imaginaire immémorial, de mythes millénaires, ou de l’onirisme des métamorphoses. Elles se dressent, troublantes, avec la force des idoles, des visions chamaniques, nous font sentir la présence vitale des éléments, la Terre-mère, la fécondité, le foisonnement de la vie. En leur corps greffés, des signes symboliques, scarabée solaire, serpent primordial, lézard ou gecko qui change de peau. La deuxième série semble plus intime, évoque la mémoire, les strates du temps, les secrets et peurs de l’enfance, les éclosions, l’envol, sorte d’archive rêvée aux couleurs de songe.
« Je pars de la matière » nous dit l’artiste, et le livre entier s’offre à « la rêveuse matière » (Ponge). De ses récoltes de traces végétales, animales, minérales, humaines : os, plumes, insectes, mousses, tissus, ailes, cocons, coquillages, branches, perles, naissent ces œuvres singulières, effaçant les frontières entre les règnes, où l’on voit soudain le sang de l’arbre, la tête arborescente, les robes d’ailes, les plumes-flammes, les corps qui germent… Le tout magnifié par la beauté des couleurs, la profondeur et l’intériorité des assemblages.

Jacqueline Saint-Jean

Textes

... Françoise Cuxac raconte ce que les mots ne peuvent dire parce qu’ils manquent : le côté de la mort et le côté de la vie, tantôt avec une fraîcheur de réalisation et de beauté subtile, tantôt avec une inquiétude qui peut surgir dans le regard du spectateur. La photographie est importante, et la plupart du temps c’est une photographie ancienne que choisit Françoise Cuxac. « Son travail est un travail sur les traces, traces végétales, traces animales, traces humaines, quand par exemple dans les mémoires familiales des documents apparaissent à ses regards », me confie Jean-Louis Clarac. « Mon atelier est petit mais, par nécessité, bien rangé », me dit Françoise. Elle continue ; « Je pars de la matière ». Cela se traduit par des collections d’os, de coquillages, de cocons qu’elle utilise dans ses créations. L’autre usage qu’elle fait de la matière est de prendre des boîtes, des coffres, des nasses, ou des valises en bois. Telle la cantine de son père. Ce qui était pratique et servait aux besoins familiaux devient un objet détourné d’une manière surréaliste ou réaliste. Là revivent des visages incandescents, oubliés, qui se sont tus, qui ont pleuré. Ses œuvres m’évoquent les frontières d’un monde fantastique. Toutes ces apparitions sont le fruit des métamorphoses intimes de l’artiste. Des portraits-cœur, en quelque sorte. Entre chaque œuvre se sont étoilés des liens profonds. Les mémoires de l’artiste tissent la chrysalide – je devrais dire les chrysalides – de ses enfances comme si elle offrait aux souvenirs un retour au cocon, au pays natal de tous les possibles. Comme un passage obligé dans la bouche du temps. La poésie alors agit dans ses peintures-sculptures-habit. Son travail avec les mots de la poésie de Jean-Louis Clarac, comme avec ceux de Victor Hugo ou Gérard de Nerval, signe avec justesse la dimension onirique et fantastique de ses créations. Les nombreux livres d’artiste prouvent la complicité tendre et féconde entre les créateurs. Une robe de poèmes faite à la main ne porte-t-elle pas les vers du poète vers la lumière du soleil ? L’idée de la terre-mère est à l’honneur chez Françoise Cuxac. Les quatre éléments fondamentaux : la terre, l’air, l’eau et le feu, si admirablement commentés par Gaston Bachelard, sont les sources primitives du monde de l’artiste. La série offerte dans ce livre resplendit de joie contenue et de mystère. Le titre de ce fort livre : Lisière trouble des métamorphoses raconte une histoire magicienne, celle du Phénix de l’éternité retrouvée dans l’ombre d’un sous-bois ou dans un coin oublié du grenier. Préparez-vous, lecteur à recevoir le frisson mystérieux.

Luc Vidal, préface du livre LISIÈRES TROUBLES des MÉTAMORPHOSES de Jean-Louis CLARAC & Françoise CUXAC

aux éditions du Petit Véhicule

Principales expositions :
 
De 2006 à 2008
- Médiathèque Laxou (communauté urbaine de Nancy), Meurthe et Moselle
- Médiathèque de Mauriac, Cantal
- Festival d'Art Singulier Saint-Jean-de-Luz, Pyrénées Atlantiques
2009
- 14ème Festival d'Art Singulier-Art d'aujourd'hui Banne, Ardèche
- Salle du Colisée Biarritz, Pyrénées Atlantiques
- Galerie Albane Nantes, Loire Atlantique, en permanence de 2009 à 2011
2010
- Théâtre d'Aurillac, Cantal
- Rencontre d'Art Singulier Moret-sur-Loing, Seine et Marne
- 16éme Festival d'Art Singulier-Art d'aujourd'hui Banne, Ardèche
2011
- Artistes à Suivre Brenac, Haute Vallée de l'Aude
- Courants d'Arts Miermaigne, Eure et Loir
-18éme Festival d'Art Singulier-Art d'aujourd'hui Banne, Ardèche
- Evasion des Arts Contemporains Villy-en-Auxois, Côte d'Or (Prix du jury)
2012
- Artothèque Le bouillon d'Art, Collias, Gard
- Artistes à Suivre, Haute Vallée de l'Aude, Quillan, Aude
- Festival Art en Seine, Saint-Aubain-Lès-Elbeufs, Seine Maritime
- 20ème Festival de Banne, Ardèche
- Evasion des Arts Contemporains Villy-en-Auxois, Côte d'Or
- Festival d'Art Actuel, Dives-sur-Mer, Seine Maritime
- Festival Arts Vagabonds en Lauragais Revel, Haute Garonne
- Galerie Libre Cours à Revel, Haute Garonne
2013
- Artothèque Babart, Argilliers, Gard
- Festival Singulièrement Vôtre, Montpellier, Hérault
- Exposition Féminin Singulier, Mairie d'Ambert, Puy-de-Dôme
- Festival Courants d'Arts, Authon du Perche, Eure
- 3ème Rencontres d'Art Singulier de Marsac, Puy-de-Dôme
- Festival d'Art Actuel, Dives-sur-Mer, Seine Maritime
- Moulin Richard de Bas, Puy-de-Dôme
- Exposition Arts Actuel Espace Zand'Art, Carcassonne, Aude
2014
- Artothèque Babart, Argilliers, Gard
- Expo 15 Hang-Art, Saffré, Loire Atlantique
- Artistes à suivre, Haute Vallée de l'Aude, Peyrolles, Aude
- Festival Art en Seine, Saint-Aubain-Lès-Elbeufs, Seine Maritime
- 4ème Rencontres d'Art Singulier de Marsac, Puy-de-Dôme
- Figuration Critique, Paris, Seine
- 5ème Biennale d'Art Partagé, Rives, Isère
2015
- 2ème Biennale d'Art Partagé, Saint-Trojan-Les-Bains,Ile d'Oléron
- Exposition "Intérieurs croisés" avec Monique Le Hingrat,
  Musée de Mauriac, Cantal
- Festival d'Art Actuel,Dives-sur-Mer, Seine Maritime
-Salon D'Art Outsider Singulier, Château de Joviac, Ardêche
- Exposition Tous ARTzimut, Maurs La Joli, Cantal
-Essar[T]s au Singulier, parc des Essarts, Bram, Aude
2016
-Salon Art sur le Fil, Alençon, Orne
-Salon Art Outsider Singulier, Meysse, Ardêche
-Exposition "Poésie de l'objet", Centre d'Art Rodhanien Saint Maur,
 Bagnols-sur-Cèze, Gard
-Art Compulsion, Galerie d'Art en ligne
2017
-Salon de Baylenque, Cave coopérative de Canaules, Gard
-COOP ART LA MARGE, exposition "Femin'ellesment vous",Serviès-en-Val, Aude
-3ème Salon Art Outsider singulier, Meysse, ardèche
-BHN7 Biennale hors Normes, Lyon
-Galerie Art Compulsion, Polygone Montpellier
2018
-Exposition "Le livre pauvre "Autour de Paul Valéry" Donation Daniel Leuwers,
Musée Paul Valéry, Sète
- Galerie ArtCompulsion, Polygone de Montpellier
-Salon "Le livre objet d'art" Oratoire de La Rochelle
-exposition "Objets de livres" Musée Georges de Sonneville, Gradignan
-4ème Salon Art Outsider singulier, Meysse, ardèche
-exposition randonnée Landes'Art, Notre Dame des Landes
-exposition "Réalités oniriques", Galerie L'épicerie, Maurs, Cantal
-Salon Les I-Réels, La Queue-Lez-Yvelines
2019
-Exposition "Métamorphoses oniriques", Musée Marie Petiet, Limoux
-BHN, Hôpital St Joseph St Luc, Lyon
-BHN Volcanique, Salles des Ecuries, Aurillac
-Salon Les I-Réels, La Queue-Lez-Yvelines
2020
 

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :

Hébergé par Overblog